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test

31.3.06

Test

29.12.05
tes, test, test....

Sur le ventre...

6.11.05

J'ai encore du mal mais je commence à m'y faire...

Sur le ventre...


Sur le ventre..., originally uploaded by valvert.

J'ai encore du mal mais je suis en train de m'y faire...

Sur le ventre...

Sur le ventre...
Sur le ventre...,
originally uploaded by valvert.
J'ai encore du mal mais je commence à m'y faire...

On déménage...

22.10.05
Dorénavant, retrouvez-nous, papa et moi, de ce côté de la toile...

A bientôt

142. Bébé iPod

20.10.05
Non, ce n'est pas possible... pourtant, ils l'ont fait... Steve Jobs pense aux plus petits et les parents le lui rendront bien en se procurant ces magnifiques body...

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141. Un regard qui change tout...

Un enfant, ça épuise. Mais dans le bon sens du terme bien sûr. Et comme me le signalait mon petit libraire ce matin, ce n'est pas qu'un enfant nous procure plus de boulot mais il nous donne surtout moins la possibilité de nous adonner à nos loisirs... Je ne le contredirai pas sur ce point. Depuis la naissance d'Oscar, il a des gens que je vois peu ou quasi plus. Certains comprennent, d'autres pas. C'est leur choix. J'ai beau tenter de leur expliquer qu'il m'est désormais devenu diffcile de me couper en deux, le franc ne tombe pas. Je ne leur en veux pas mais il est clair que cela pose parfois problème dans certaines relations...

Pourtant...

Un enfant. Un enfant a d'extraordinaire cette faculté de vous rendre tout autre. J'aime comparé la relation d'avec mon fils à une bonne lecture. On s'y plonge et on ne reprend son souffle qu'après avoir fini d'en parcourir les dernières pages. Un enfant est un recueuil à lui tout seul... poétique, épique, fantatisque... tous les genres se bousculent. Sa vie est parsemée d'aventures dont il est le héros et dont nous sommes les personnages secondaires. Je comprends mieux pourquoi certains auteurs ont besoin de se créer un personnage d'enfant. L'univers y est totalement différent. Pendant que l'on pense "adulte", eux réfléchissent "enfant". Pendant que l'on se crispe, que l'on se méprend, que l'on s'angoisse... eux rêvent, s'émerveillent, ouvre grand leurs yeux pour n'en retirer que ce qu'il y a de plus beau. Regardez un enfant aux balbutiements de sa vie. Regardez-le fixer le ciel, les animaux, la nature, le monde qui l'entoure et vous apercevrez peut-être cette petite lueur qui font de leur vie des moments uniques, à chaque fois innoubliables.

Je ne me lasse pas des nombreux regards qu'il me lance amoureusement. J'en suis systématiquement tout retourné. Vous avez l'impression qu'il contemple la 8ième merveille du monde. Un regard perçant, ennivrant, percutant... Comme s'il n'y avait plus que vous deux, en parfaite harmonie... même un cataclysme ne pourrait déranger tout ce bonheur...

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140. Deux Houellebecq pour le prix d'un !

18.10.05
J'ai lu Houellebecq et je dois dire que j'ai apprécié. Pas adoré mais apprécié quand même. Et je ne mes suis pas contenté pour le novice houellebecquien que je suis de son dernier opus. Même si j'ai commencé par ce dernier. "La Possibilité d'une Ile", raconte l'histoire d'un type paumé, aigri, amer, mysogine, fataliste, pessimiste et sexuellement très porté sur la chose qui livre ses impressions sur une société au travers de laquelle il se voit vieillir et devenir peu à peu inutile. C'est aussi sa rencontre avec une secte: les Elohimes qui lui promettent la vie éternelle. Ce sont également deux histoires qui au final n'en forme plus qu'une. Celle de Daniel 1 et celle de ses descendants qui quelques siècles plus tard, relisent les événements de sa vie et cherchent à comprendre, en vain, ce qu'il est advenu de cette civilisation humaine aujourd'hui disparue...

"Extension du domaine de la lutte" est également l'histoire d'un type paumé, aigri, amer, mysogine, fataliste, pessimiste et sexuellement très porté sur la chose qui livre ses impressions sur une société au travers de la quelle il se voit vieillir et devenir peu à peu inutile. A la différence prêt qu'il nous livre une analyse psychologique et sociologique d'une grosse société vu au travers des yeux d'un des cadres supérieurs qui y travaillent.

Alors, où se situe la différence ? Nulle part. Houellebecq part systématiquement du même principe. Nous vivons dans une société pourrie qui fait de nous des automates de la vie (voir post précédent). Une société régit par le sexe, l'argent et le pouvoir. Une société où personne n'a sa place et où la décrépitude et la déchéance dues à la vieillesse est notre lot final à chacun. Rien de bien optimiste dans tout ça. Néanmoins, l'auteur a une vision lucide des choses mais si celle-ci mériterait d'être tempérée, voir atténuée quelques fois.

Comme je ne fais pas les choses à moitié, je me suis également procuré "Les Particules élémentaires" et "Plateforme". Mais je pense que ces deux ouvrages devront encore un peu patienter avant d'être ouverts. Il ne faut pas abuser des bonnes choses. Car si pour beaucoup de monde, Houellebecq a l'habitude de se cacher derrière des airs cyniques et provocateurs, il n'en reste pas moins un auteur prodigieux qui ne laisse personne indifférent. Même pas ses détracteurs...

139. Le bonheur a un prix

17.10.05
La vie peut parfois être cruelle. Vous nagez dans le bonheur et en un instant, tout ce que vous avez tentez de construire depuis des années s'effondre comme un jeu de cartes. Il y a un être sur cette terre qui méritera jusqu'à sa mort mon respect: mon père. Celui-ci vit en ce moment des moments extrêmement difficiles. Moralement et psychologiquement, il a été atteint de plein fouet par un événement que je ne souhaite à personne de vivre. Je ne rentrerai pas dans les détails par respect pour lui. La vie d'un être a été touchée dans son ensemble. Cette vie que l'on pense indestructible, innattaquable.

Alors, heureux ?

Qu'il peut parfois sembler compliquer de gérer une existence. Il faut bien dire que la société actuelle ne nous y aide pas. On nous demande d'être un concentré de beauté, d'intelligence et de richesse. On ne nous en laisse pas le choix d'ailleurs. Marche ou crève mais rien entre les deux. On nous demande de vivre selon des normes. Un mètre quatre-vingt, brun aux yeux bleus, dotée d'une bonne corpulence musculaire, teint bronzé et habillé des plus belles marques de vêtement. Un boulot intéressant et... rentable est bien entendu souhaitable. Bref, si vouis êtes cons, chétif, moche et chômeur, il y a de fortes propensions à ce que personne ne s'intéresse à votre cas. Donc, démerdez-vous pour être tout le contraire et malheur aux vaincus s'ils ne respectent pas les règles.

La société fait de nous des automates. Métro, boulot, dodo. Et s'il nous reste un peu de temps et de force pour la famille, c'est que cette même société a décidé d'être clémente avec nous. Pour les machanceux, c'est au bord d'un gouffre qu'ils se retrouveront. Certains joueront les équilibristes toute leur vie. D'autres s'y jetteront innexorablement. Non, décidément, la vie n'a pas décidé de nous faire de cadeaux. Il faut chaque jour, un peu plus se battre pour rester debout. Un moment de faiblesse et c'est la chute. Et quand on demande de l'aide, personne n'est là pour vous tendre la main...

J'exègre cette société-là. Je la maudit et pourtant, comme tout le monde, j'en fait partie. Cessons de vouloir être des personnes que nous ne pouvons être. Cessons de croire que l'habit fait le moine et que le compte en banque fait l'aristocrate. Cessons de subir tous ces écrans qui nous crachent leur poison à longueur de journée. Cessons de vouloir être le reflet de cette société qui réduit à néant ses propres sujets.

Le jeu en vaut bien la chandelle, non ?

138. Du changement

Après quelques jours d'absence - et je dois dire que moralement et psychologiquement, ils ne furent pas de tout repos - , j'ai décidé d'opérer un changement notable sur ce carnet. Dorénavant, Oscar n'occupera plus à lui tout seul la scène centrale, son papa également viendra y laisser ses états d'âmes, ses joies, ses peines, ses espérances, ses réflexions, etc. Parce qu'il faut évoluer, parce que le besoin de me livrer est important en ce moment, parce que les choses qui m'entourent ne peuvent me laisser insensibles, parce que le besoin de partager est significatif, je me devais d'en arriver là. Et pour le lecteur habituel ou de passage, il s'agira bel et bien du petit bonus puisqu'il y aura deux fois plus de choses à lire. Que demander de plus. Merci encore une fois de me faire confiance et à très binetôt sur cette page...