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98. Une première nuit difficile

Déjà trois jours que nous sommes de retour à la maison. La première nuit fut grandiose. Bébé avait eu la bonne idée de pendre la crémaillère sans nous en informer. Il ne décida de se coucher qu’aux alentours de 4 heures du mat. Tant et si bien que le lendemain, nous avions tous les deux la tête dans le c..

On ne peut pas lui en vouloir non plus. Pas facile de s’acclimater à un nouvel environnement en un claquement de doigt. Tout comme nous, il avait besoin de trouver ses marques. Nouveau lit, nouvelle ambiance, nouveaux horaires, … Du coup, la journée du jeudi servit essentiellement à récupérer. Bébé lui poursuivi son petit bonhomme de chemin. Manger, dormir, manger, dormir,…

Je m’entends encore crier sur tous les toits qu’il fera très vite ses nuits. Pour affirmer cela, je prenais exemple sur le petit de ma sœur qui très vite s’était constitué un rythme de vie auprès de sa maman. Mais un bébé n’est pas l’autre. Notre petit Oscar ne le voyait pas de cet œil.

Pourtant, jusque minuit, tout se déroula parfaitement. A peine l’avions-nous couché dans sa nacelle qu’il commença à tressaillir. Comme il n’avait pas beaucoup mangé de la journée, on décida de le mettre à la tétée. Facile, me direz-vous sauf que lui ne l’entendait pas de cette oreille. A peine eu-t-il lâché la poitrine de sa maman qu’une autre crise de larmes faisait son apparition. S’il est rassasié, c’est qu’il demande à être changé alors. Aussi tôt dit, aussi tôt fait. Mais cela ne le calma pas. On décida alors d’allumer une petite veilleuse. Après tout, peut-être bien que le noir lui faisait peur. Cela le calma un temps mais pas plus. On pensa aussi un instant qu’il pu avoir froid. Je rallumai donc le chauffage. Résultat : on pétait de chaud mais lui continuait de brailler. Il ne restait donc plus qu’une solution : la tute. Maman est contre, moi je me dis que si ça peut l’apaiser, autant tenter notre chance. Bingo, il se calma en un instant… mais pas aussi longtemps que nous aurions pu le souhaiter. De mon côté, j’avais réussi à m’endormir. Je le retrouvai quelques heures plus tard, installé auprès d’elle. Il s’était enfin calmé et dormait profondément.

Une bonne et une mauvaise nouvelle enfin. La bonne nouvelle est qu’à sa naissance, l’infirmière lui avait donné la taille de 48 centimètres, ce qui me paraissait peu pour un bébé garçon. Sa maman qui est aussi pédiatre a repris ses mesures. Verdict : 50,5 cm. Alors soit, il fera partie dans quelques années des plus grands hommes répertoriés dans le Guinness Book. Soit, les médecins de l’hôpital n’ont pas le compas dans l’œil. Je pencherais plutôt pour la seconde solution… La mauvaise nouvelle est que les faire-part avaient déjà été imprimés… donc, chut…
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