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44. Une boîte de kleenex pour Papa

Difficile de retenir son émotion lorsque l’on voit naître un enfant… il ne s’agit pas encore du nôtre et pourtant je parviens déjà à me mettre dans des états pas possibles à la vue d’une maman qui donne la vie. En ce moment, je suis une véritable boule d’émotions et ce ne sont pas les prochaines semaines qui risquent d’arranger ça. En sus de la littérature qui désormais remplit plutôt bien les étagères de la bibliothèque, j’aime aussi à m’informer par le biais d’émissions télévisuelles sur le sujet. L’autre soir encore, une chaîne française diffusait un reportage sur l’immersion de plusieurs équipes de journalistes au sein d’un service obstétrique d’une maternité parisienne. Je ne pu retenir mes larmes lorsque j’ai vu ce père attendre derrière la porte de la salle d’accouchement, inquiet dans un premier temps et la délivrance de celui-ci lorsqu’il entendit les premiers cris poussés par son enfant. Et cet autre père qui de prime abord semblait impassible face à la naissance de son fils mais qui pourtant avait du mal à détacher son regard de sa femme pendant tout le travail jusqu’à la délivrance. Et que dire de ce couple qui l’année dernière perdit un enfant quelques semaine avant le terme de la grossesse et dont la mère accoucha cette fois-ci sans le moindre problème. Mais derrière ses magnifiques moments de pur bonheur, se dissimulent d’autres instants que l’on ne préférerait jamais devoir vivre. Se rendre compte à huit mois et demi que son enfant a cessé de bouger, laisser aller les choses au point que ce dernier cesse de se développer. Et par la force des choses, être obligée de devoir mettre au monde un enfant mort. Les larmes de joies se sont ainsi mêlées aux larmes de tristesse. Peur que cela nous arrive même si l’on sait que le risque est minime puisqu’un pourcentage assez important de grossesses évolue on ne peut mieux. Envie en même temps de déjà y être. De pouvoir assister à ce merveilleux moment qu’est le début d’une vie. Surtout lorsqu’il s’agit de celle de votre sang. Et comme aimait à préciser un de ces pères, si cette vie est donnée au bout de neuf mois, elle débute bien 280 jours avant…
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