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71. Et si Papa prenait un petit calmant ?

Plus de peur que de mal aujourd'hui. Enfin, c'est surtout moi qui aie du mal à gérer la situation. Je ne peux m'empêcher de stresser à l'approche de la date d'accouchement. Maman m'annonce que ça la gratte sur le ventre. En effet, je distingue bien quelques petites plaques mais rien d'alarmant. Elle décide de prendre avis chez une amie médecin qui lui demande de venir immédiatement jusqu'à l'hôpital pour y effectuer une prise de sang. Son diagnostique à vue d'oeil penche vers un urticaire de grossesse ou plus grave, vers un problème au foie. Ce qui pourrait voir avancer la date de l'accouchement et même envisage de le déclencher.

Mon sang ne fait qu'un tour. Au lieu de réagir comme il le fallait, à savoir la rassurer et de lui dire que tout se passait bien et qu'elle ne devait pas s'inquiéter, il a fallu que je perde les pédales. L'effet immédiat a provoqué sur elle une montée d'adrénaline. Son inquiétude a commencé à transparaître et elle ne savait plus que faire et quoi penser. Elle a pris la route (oui, en plus je ne conduis pas) la peur au ventre ou du moins sans la conviction que tout allait bien. Et cela, par ma faute.

Autant ne pas tourner autour du pot, tout s’est finalement bien terminé. Il s'agit bien d'un urticaire et seul un léger traitement devrait arranger tout ça. Non, ce qui me parait le plus grave dans toute cette histoire est la façon dont j'ai gérer la situation. Que va-t-il en advenir lorsque nous serons tous les deux en salle de travail, face à la douleur des contractions ? Si je commence à tourner comme un lion en cage ne sachant que faire ou à m'énerver parce que je paniquerais, cela risque au final de mal se passer. Il faut absolument que j'apprenne à canaliser mes angoisses. Et même si celles-ci sont bien apparentent, elles doivent absolument être masquées.

Heureusement, je me dis qu'il me reste encore quelques semaines pour m'améliorer. Ca ne peut pas être pire mais ça pourrait franchement être mieux. Je dois réagir en adulte responsable et surtout, en homme capable de soutenir des moments de stress car je serai le seul (avec les infirmières) à pouvoir la soutenir. Si on pouvait seulement m'insérer un programme détruisant pour quelques heures toutes mes inhibitions, ce serait tellement plus facile. Mais voilà, l'homme n'est pas une machine et dans ces moments, il est difficile de lui demander d'en devenir une. Il réagit avec ses émotions même si ces dernières tendent souvent par le trahir.
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1:53 PM

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