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132. Première semaine de crèche (suite en fin)

La semaine se termine et si les premiers jours furent difficiles et riches en émotion, je commence désormais à m’habituer à cet état de fait. Pour plusieurs raisons. La première est qu’il semble heureux de passer ses journées au milieu d’enfants même si pour l’instant, il a encore un peu tendance à jouer à l’asocial et préfère les bras des deux gentilles dames qui ne cessent de le câliner. Tout ceci commence d’ailleurs m’exaspérer. Sentir l’odeur d’une tierce personne sur la peau de mon enfant c’est comme si j’humais les effluves d’un parfum masculin sur les vêtements de ma femme. A ceci prêt qu’avec Oscar, il n’a aucun compte à me rendre.

La seconde raison est que tout a l’air de bien se passer. Il mange, il dort, il joue et lorsque je le dépose de matin, il ne pleure pas. Il est encore fort petit, je l’admets, pour cautionner la séparation d’avec ses parents mais lorsque je viens le chercher le soir, ce m’amène à la troisième raison, il me fait une de ses fêtes dignes du 21 juillet. Des sourires en veux-tu, en voilà. L’envie que je le prenne dans les bras transperce son visage. Je ne me fais d’ailleurs pas prié longtemps et saute littéralement sur lui une fois la porte de la crèche franchie.

Cette nuit, sa maman fut de garde. Elle était rappelable et cela se produisit. Vers les 4h30, le téléphone sonna. Je me rendis compte qu’elle ne serait pas présente pour les différentes tâches matinales liées au petit. A 6 heures, monsieur se réveilla. Biberon ensuite toilette succincte et habillage. Pourquoi stresser ? Tout s’était finalement bien déroulé. Là, il ne me reste plus qu’à lui enfiler sa petite veste, braver les intempéries et affronter la pluie avec la poussette, pour le déposer chez ses nounous préférées.

Allez, ce week-end, on l’aura pour nous. Ce sera une belle récompense.

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