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47. Papa se pose des questions (suite)

Pourquoi grandir ? Pourquoi ne pas redevenir simplement l’enfant que nous étions dans un temps pas si lointain que cela ? Le temps passe affreusement vite. A ce jour, je n’arrive même plus à me remémorer ces instants d’insouciance et de futilité que l’on a la chance de vivre à une époque bien précise de notre existence. Pourquoi nous demander d’être si sérieux alors qu’il serait plus simple de se laisser aller, comme une vague au gré des vents ? Pourquoi finissons-nous toujours par nous fracasser la tête contre les rochers ? Cette réalité qui nous rappelle sans cesse que nous avons des devoirs pour nous-même mais également pour ceux qui nous sont proche. L’enfant ne se souciait gère de toutes ces considérations. Il vivait simplement sans que le moindre doute quand au bien fondement de ses actes ne vienne lui effleurer l’esprit. Il avait cette innocence qui manque affreusement à certaines personnes. A moi en particulier.

La vie devrait ressembler à un tableau magique. Écrire, effacer, écrire, effacer… parce que chaque tableau qui s’efface est une nouvelle étape qui prend forme. Et une fois qu’elle sera usée, il ne restera plus qu’à la ranger. Notre chemin se verra ainsi accompli et plus rien ne pourra venir se mettre en travers de notre route.

Aujourd’hui, j’inscrirai donc sur cette ardoise une phrase : va jusqu'au bout de tes rêves. Un bon génie m’a dit un jour qu’il fallait toujours croire en sa bonne étoile. Ce bon génie, c’était moi. Il est ma conscience éveillée, celle en qui je ne crois plus pour l’instant. Pourtant, que ne donnerais-je pas pour me réveiller un matin sans penser à quoi demain ressemblera. Si seulement, je pouvais actionner ce mécanisme d’effacement. Et remplacer les mots qui ont jadis été placés dessus : Tu n’es qu’un minable. Je me demande bien qui a pu écrire ça ? Moi, certainement…
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