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On déménage...

22.10.05
Dorénavant, retrouvez-nous, papa et moi, de ce côté de la toile...

A bientôt

142. Bébé iPod

20.10.05
Non, ce n'est pas possible... pourtant, ils l'ont fait... Steve Jobs pense aux plus petits et les parents le lui rendront bien en se procurant ces magnifiques body...

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141. Un regard qui change tout...

Un enfant, ça épuise. Mais dans le bon sens du terme bien sûr. Et comme me le signalait mon petit libraire ce matin, ce n'est pas qu'un enfant nous procure plus de boulot mais il nous donne surtout moins la possibilité de nous adonner à nos loisirs... Je ne le contredirai pas sur ce point. Depuis la naissance d'Oscar, il a des gens que je vois peu ou quasi plus. Certains comprennent, d'autres pas. C'est leur choix. J'ai beau tenter de leur expliquer qu'il m'est désormais devenu diffcile de me couper en deux, le franc ne tombe pas. Je ne leur en veux pas mais il est clair que cela pose parfois problème dans certaines relations...

Pourtant...

Un enfant. Un enfant a d'extraordinaire cette faculté de vous rendre tout autre. J'aime comparé la relation d'avec mon fils à une bonne lecture. On s'y plonge et on ne reprend son souffle qu'après avoir fini d'en parcourir les dernières pages. Un enfant est un recueuil à lui tout seul... poétique, épique, fantatisque... tous les genres se bousculent. Sa vie est parsemée d'aventures dont il est le héros et dont nous sommes les personnages secondaires. Je comprends mieux pourquoi certains auteurs ont besoin de se créer un personnage d'enfant. L'univers y est totalement différent. Pendant que l'on pense "adulte", eux réfléchissent "enfant". Pendant que l'on se crispe, que l'on se méprend, que l'on s'angoisse... eux rêvent, s'émerveillent, ouvre grand leurs yeux pour n'en retirer que ce qu'il y a de plus beau. Regardez un enfant aux balbutiements de sa vie. Regardez-le fixer le ciel, les animaux, la nature, le monde qui l'entoure et vous apercevrez peut-être cette petite lueur qui font de leur vie des moments uniques, à chaque fois innoubliables.

Je ne me lasse pas des nombreux regards qu'il me lance amoureusement. J'en suis systématiquement tout retourné. Vous avez l'impression qu'il contemple la 8ième merveille du monde. Un regard perçant, ennivrant, percutant... Comme s'il n'y avait plus que vous deux, en parfaite harmonie... même un cataclysme ne pourrait déranger tout ce bonheur...

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140. Deux Houellebecq pour le prix d'un !

18.10.05
J'ai lu Houellebecq et je dois dire que j'ai apprécié. Pas adoré mais apprécié quand même. Et je ne mes suis pas contenté pour le novice houellebecquien que je suis de son dernier opus. Même si j'ai commencé par ce dernier. "La Possibilité d'une Ile", raconte l'histoire d'un type paumé, aigri, amer, mysogine, fataliste, pessimiste et sexuellement très porté sur la chose qui livre ses impressions sur une société au travers de laquelle il se voit vieillir et devenir peu à peu inutile. C'est aussi sa rencontre avec une secte: les Elohimes qui lui promettent la vie éternelle. Ce sont également deux histoires qui au final n'en forme plus qu'une. Celle de Daniel 1 et celle de ses descendants qui quelques siècles plus tard, relisent les événements de sa vie et cherchent à comprendre, en vain, ce qu'il est advenu de cette civilisation humaine aujourd'hui disparue...

"Extension du domaine de la lutte" est également l'histoire d'un type paumé, aigri, amer, mysogine, fataliste, pessimiste et sexuellement très porté sur la chose qui livre ses impressions sur une société au travers de la quelle il se voit vieillir et devenir peu à peu inutile. A la différence prêt qu'il nous livre une analyse psychologique et sociologique d'une grosse société vu au travers des yeux d'un des cadres supérieurs qui y travaillent.

Alors, où se situe la différence ? Nulle part. Houellebecq part systématiquement du même principe. Nous vivons dans une société pourrie qui fait de nous des automates de la vie (voir post précédent). Une société régit par le sexe, l'argent et le pouvoir. Une société où personne n'a sa place et où la décrépitude et la déchéance dues à la vieillesse est notre lot final à chacun. Rien de bien optimiste dans tout ça. Néanmoins, l'auteur a une vision lucide des choses mais si celle-ci mériterait d'être tempérée, voir atténuée quelques fois.

Comme je ne fais pas les choses à moitié, je me suis également procuré "Les Particules élémentaires" et "Plateforme". Mais je pense que ces deux ouvrages devront encore un peu patienter avant d'être ouverts. Il ne faut pas abuser des bonnes choses. Car si pour beaucoup de monde, Houellebecq a l'habitude de se cacher derrière des airs cyniques et provocateurs, il n'en reste pas moins un auteur prodigieux qui ne laisse personne indifférent. Même pas ses détracteurs...

139. Le bonheur a un prix

17.10.05
La vie peut parfois être cruelle. Vous nagez dans le bonheur et en un instant, tout ce que vous avez tentez de construire depuis des années s'effondre comme un jeu de cartes. Il y a un être sur cette terre qui méritera jusqu'à sa mort mon respect: mon père. Celui-ci vit en ce moment des moments extrêmement difficiles. Moralement et psychologiquement, il a été atteint de plein fouet par un événement que je ne souhaite à personne de vivre. Je ne rentrerai pas dans les détails par respect pour lui. La vie d'un être a été touchée dans son ensemble. Cette vie que l'on pense indestructible, innattaquable.

Alors, heureux ?

Qu'il peut parfois sembler compliquer de gérer une existence. Il faut bien dire que la société actuelle ne nous y aide pas. On nous demande d'être un concentré de beauté, d'intelligence et de richesse. On ne nous en laisse pas le choix d'ailleurs. Marche ou crève mais rien entre les deux. On nous demande de vivre selon des normes. Un mètre quatre-vingt, brun aux yeux bleus, dotée d'une bonne corpulence musculaire, teint bronzé et habillé des plus belles marques de vêtement. Un boulot intéressant et... rentable est bien entendu souhaitable. Bref, si vouis êtes cons, chétif, moche et chômeur, il y a de fortes propensions à ce que personne ne s'intéresse à votre cas. Donc, démerdez-vous pour être tout le contraire et malheur aux vaincus s'ils ne respectent pas les règles.

La société fait de nous des automates. Métro, boulot, dodo. Et s'il nous reste un peu de temps et de force pour la famille, c'est que cette même société a décidé d'être clémente avec nous. Pour les machanceux, c'est au bord d'un gouffre qu'ils se retrouveront. Certains joueront les équilibristes toute leur vie. D'autres s'y jetteront innexorablement. Non, décidément, la vie n'a pas décidé de nous faire de cadeaux. Il faut chaque jour, un peu plus se battre pour rester debout. Un moment de faiblesse et c'est la chute. Et quand on demande de l'aide, personne n'est là pour vous tendre la main...

J'exègre cette société-là. Je la maudit et pourtant, comme tout le monde, j'en fait partie. Cessons de vouloir être des personnes que nous ne pouvons être. Cessons de croire que l'habit fait le moine et que le compte en banque fait l'aristocrate. Cessons de subir tous ces écrans qui nous crachent leur poison à longueur de journée. Cessons de vouloir être le reflet de cette société qui réduit à néant ses propres sujets.

Le jeu en vaut bien la chandelle, non ?

138. Du changement

Après quelques jours d'absence - et je dois dire que moralement et psychologiquement, ils ne furent pas de tout repos - , j'ai décidé d'opérer un changement notable sur ce carnet. Dorénavant, Oscar n'occupera plus à lui tout seul la scène centrale, son papa également viendra y laisser ses états d'âmes, ses joies, ses peines, ses espérances, ses réflexions, etc. Parce qu'il faut évoluer, parce que le besoin de me livrer est important en ce moment, parce que les choses qui m'entourent ne peuvent me laisser insensibles, parce que le besoin de partager est significatif, je me devais d'en arriver là. Et pour le lecteur habituel ou de passage, il s'agira bel et bien du petit bonus puisqu'il y aura deux fois plus de choses à lire. Que demander de plus. Merci encore une fois de me faire confiance et à très binetôt sur cette page...

137. Un bon rhume !

11.10.05
Les nouvelles sont bonnes. J'ai vaincu mes appréhensions et je suis parvenu à lui donner sa panade sans qu'il rechigne. Il faut dire que je m'étais mis en condition optimale. Zen, cool, relax, j'ai pris ce moment comme un jeu et non plus comme une corvée. Une cuillère pour maman, une cuillère pour papa, une cuillère pour oscar,... le tour était joué. Dès la première bouché, je l'ai senti plus réceptif et détendu. Il ouvrait spontanément la bouche pour accueillir la rasade de chicon/pomme de terre salvatrice. Le seul hic dans l'histoire est qu'il a fallu que je lui prépare une fois son assiette terminée, un petit biberon supplémentaire. Monsieur n'avait apparemment pas eu suffisamment à se mettre sous la dent. Et ce ne sont pas les quelque millilitres d'eau qui en auront décidé autrement...

C'est assez paradoxale cette situation, car à la crèche, il ne se comporte pas de la sorte. Il avale sa panade et ne demande pas son reste. J'ai posé la question aux dames qui s'occupent de lui, elles me disent que peut-être, il tient un comportement différent avec nous. C'est vrai qu'à la maison, il a son petit trône notre Oscar. Tout est fait en fonction de lui et pour lui et sûrement qu'à la crèche, on lui impose des limites et qu'il sent bien qu'il ne s'agit pas de broncher, qu'elles ne sont pas dupes comme peuvent l'être papa et maman... Question d'habitude, il s'agira dans les prochaines semaines de reprendre les choses en main.

A part ça, notre petit loup est de nouveau malade. Après la gastro, c'est un bon gros rhume qui a fait son apparition. Le pauvre est tellement incommodé qu'il se réveille la nuit. On ne peut pas rester insensible lorsqu'on l'entend renfler et avoir du mal à respirer. Sur quatre semaines de crèche, je pense qu'il est parvenu à rester trois jours en bonne santé... Alors, même sur le coup des 4h du mat', on se lève pour lui administrer une bonne dose de sérum physiologique et aspirer ses sécrétion à l'aide du moche-bébé, instrument de torture de son état s'il en est...

Quand je pense que l'on vend ça dans le commerce. Rien que la structure ne peut que traumatiser votre enfant. Imaginez que l'on glisse cet énorme bazar à l'intérieur de votre minuscule narine... c'est comme si je me mettais dans les nasaux le tuyau de mon aspirateur hoover. Effet garanti. Heureusement, il est courageux notre petiot. Pas peureux, ni douillet pour un sous, il se laisse faire, sachant qu'après tout, on fait ça pour son bien. Suffit juste de lui expliquer... Quelques mots peuvent parfois produire de grands miracles...

Finalement, c'est nous parents qui sommes le plus inquiet car l'autre nuit, lui m'a accueilli avec son plus beau sourire... Faut pas chercher à comprendre...

136. Le cauchemard de la panade

9.10.05
Week-end entre mecs car maman est fort prise en ce moment par son boulot. La journée de samedi n'a pas été des plus faciles. On sent que le petit a ses habitudes emmagasinées au cours de ses premières semaines de crèches. Il a encore du mal à faire la différence entre un jour de semaine et un jour de week-end. De ce fait, il est levé tôt, très tôt même et met directement ses parents à disposition. Et comme son papa n'arrive pas à retrouver ses heures de sommeil perdues, on ne sait où, entre deux plongeons nocturnes dans les méandres du net, les journées sont longues, très longues mêmes...

Je pense qu'il sent cette tension et qu'il la reporte en pleurs et en gémissement, en demandes de câlins et de jeux. Je dois avouer que j'ai du mal à assurer en ce moment. Je n'ai pas honte de le dire, un homme reste un homme et ne devient jamais un surhomme. J'ai mes failles, mais je ne voudrais pas qu'il en pâtisse. La preuve par l'exemple. Hier, au moment de lui donner sa panade, j'ai directement compris que ça ne se passerait pas au mieux. Je n'ai aucune patience pour ce genre de choses. Je perds vite pied si la partition a des ratés. Je m'attends à ce qu'il l'ingurgite aussi vite qu'un biberon. Faut dire que sur ce point, il est réglé comme une centrifugeuse qui avale tout d'une traite. Mais pour la panade, c'est une autre histoire.

Alors les bons conseils volent. La panade doit être un moment de détente. Il faut jouer avec lui. Une cuillère pour papa, une cuillère pour maman, une autre pour Oscar, etc. Ça marche l'espace de quelques minutes, mais une fois la "supercherie" découverte, c'est lui qui prend les commandes de l'affaire. Viennent alors se greffer pleurs, râleries, etc. Que faire dans ces cas-là ? Comment savoir s'il a encore faim ? A-t-il soif, veut-il faire une pause ? Toutes ces interrogations se bousculent et en une fois, c'est vous qui perdez les pédales. Je devrais peut-être me renseigner auprès de sa gardienne pour savoir s'il elle utilise une méthode propre à elle pour lui donner son repas. Cela pourrait m'aider car rien que de penser au prochain repas, des frissons d'angoisse me parcourent le corps.

Voilà, Si l'un ou l'autre parent passe par ici et s'il requiert à des vieux trucs de grand-mère, vous savez ce qu'ils vous restent à faire...

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135. Même Maité aurait fait mieux...

5.10.05
Recette pour une panade de carotte et de pomme de terre (pas trop) réussie:

  • Prendre une carotte et une pomme de terre que vous épluchez méticuleusement.
  • Les couper en morceaux et les porter dans un plat daans le quel vous aurez rajouté un fond d'eau, pour les faire chauffer 10 minutes au micro-onde.
  • Ensuite ne pas oublier de laisser l'eau restante.
  • Mixer le tout pendant une trntaine de secondes pour obtenir une panade onctueuse et non à base de mastic de maçon.
  • Tenter de faire avaler cette infamie de grè ou de force à votre petit bout qui ne se gènera pas pour vous le recracher à la figure ou à vous la refuser poliment.
  • Vous dépêcher de préparer un biberon qu'il avalera en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.
  • Ne jamais réitérer l'expérience désastreuse non sans être accompagnée d'une personne cpable et digne de confiance qui prendre rapidement les choses en main à la moindre anicroche.
Bref, pas moi...

134. De garde à la maison

3.10.05
Et voilà comment on se retrouve à la maison un lundi matin au lieu d'être bien gentiment installé à son poste de travail. Oscar est malade. Rien de grave, rassurez-vous. Il a juste chopé une bonne gastro-entérite. Le pauvre n'en mène pas large. Il a les fesses irritées, rouges sang... Il ne faut même pas essayer de lui appliquer le baume sur sa peau, il serre son arrière train comme si sa vie en dépendait. Et si ce n'était que ça. Il ne digère pratiquement rien, en tout cas pas les panades qu'on lui prépare avec amour. Oui, il a commencé ses panades. Je sais, je suis impardonnable, je n'en ai même pas parlé. Faut dire que ses derniers jours n'ont pas été de tout repos. Entre les allers-retours crèche-maison, lui donner le bain le soir, faire à manger et enfin se reposer (ou devrais-je dire s'endormir) au fond de son canapé, la place laissée libre à ce blog est devenue minime.

Pour en revenir à mes histoires de fesses, on se demande bien sa maman et moi s'il ne fait pas également une allergie aux lingettes qu'on lui passe sur la peau à la crèche. C'est bien beau d'acheter du bon marché mais si c'est pour défigurer le petit, je préfère amener moi-même le paquet. Et puis, quel nid à microbes. Il n'y a pas un jour sans qu'un des enfants soit absent pour cause de maladie. Il est loin le temps où il était protégé contre toutes les maladies, calé bien au chaud dans sa petit chambre douillette aménagée par nos soins.

Donc, depuis ce matin, j'ai été nommé infirmier de garde en chef au chevet de mon petit bout. Et je dois dire qu'il est adorable et ne rechigne pas à l'inconfort de son état. Il n'a même pas eu la bonne idée de me recracher à la figure la potée que je lui avais préparé. Oui, de la potée, de la merdasse, rien de mangeable si ce n'est pour un troupeau de vaches que l'on avait décidé d'affamer pendant une semaine. Déguelasse, il n'y a pas d'autre mot pour définir ce qu'il avait dans son assiette ce midi. Il a été poli du reste. Il a avalé 5 bouchées mais pas une de plus. Je n'en aurais même pas pris une. Pauvre papa qui avait omis de rajouter de l'eau pour rendre la panade plus onctueuse. On aurait du du mastic !!!

Du coup, il a fallu lui administrer un biberon qu'il a dégusté goulument. Ce soir, je risque de me faire taper sur les doigts par sa maman qui ne me pardonnera pas de ne pas avoir su préparer quelque chose d'aussi basic...

Nouvelles photos

2.10.05
De nouvelles photos en attendant de nouveaux textes... si, si, promis, ça arrive dans quelques jours...